Avr 10

Le Parti de Gauche 66 engage un travail de pédagogie sur l’Europe

PG sans FG

La campagne d’action sur l’Europe lancée par le Parti de Gauche 66 se poursuit dans l’ensemble du département des Pyrénées-Orientales.

Après deux premières réunions publiques à Bourg-Madame et Saint-Paul de Fenouillet, plusieurs autres rendez-vous sont prévus, organisés par le PG 66 ou en partenariat avec des organisations proches : Céret mardi 17 avril, Canet-en-Roussillon vendredi 27 avril, Perpignan mercredi 16 mai, Prades mercredi 23 avril, Thuir mardi 21 août à l’occasion de la traditionnelle rentrée politique du PG 66. D’autres réunions sont en projet, marquant sa présence dans l’ensemble des espaces militants du département.

Le PG 66 considère que les élections européennes de mai 2019 constitueront une étape décisive pour l’émergence d’une alternative à la politique du président Macron irrémédiablement vouée à l’échec par son caractère asymétrique en faveur des plus riches.

Les institutions et les politiques de l’Union européenne représentent un verrou pour la réalisation du projet de transformation démocratique, sociale et écologique pour lequel nous militons. Cette campagne d’action permettra de populariser la stratégie du plan A et du plan B visant à rompre avec la logique des traités européens. En toute circonstance, la décision appartiendra au peuple consulté par référendum.

Une pétition complètera la campagne d’action. Elle visera à promouvoir le protectionnisme solidaire en refusant les traités de libre-échange (CETA avec le Canada, TAFTA avec les Etats-Unis), et exigera l’inscription dans la constitution de l’obligation d’adopter par référendum tout nouveau traité européen afin de respecter pleinement la souveraineté du peuple.

Catherine DAVID et Francis DASPE, co-secrétaires départementaux du PG 66

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Avr 08

Alors qu’ils disent « unité » en s’agitant comme des cabris…

LR MPy

Le Parti de Gauche 66 exprime sa plus forte indignation quant à la situation ayant conduit à la désintégration du groupe « Nouveau Monde en Commun » au Conseil régional Occitanie.

Une manœuvre bassement politicienne, digne du plus vieux monde politique en déshérence, a été orchestrée par les élus EELV et PCF. La finalité était de priver les 4 élus France Insoumise (PG, Socialistes Insoumis, Ensemble !) des moyens de fonctionner convenablement. L’ignominie est allée en effet très loin : changement de serrures de bureaux, refus d’accession d’un ancien salarié du groupe venant comme bénévole par constat d’huissier etc.

Le tort des élus France Insoumise du Conseil régional Occitanie ? C’est d’être resté fidèles à leurs engagements de campagne ! Il n’en est pas de même des élus communistes et écologistes qui acceptent sans barguigner compromissions et renoncements, comme le vote sur l’allongement du temps de travail annuel sans augmentation de salaire pour les agents des lycées l’a si cruellement montré. Tout cela dans le seul but de préserver quelques vice-présidences ! Ma petite rente personnelle pour quelques jetons de présence dans l’exécutif régional dirigé par le parti socialiste, misère de la conviction en politique…

Ces agissements scandaleux rendent encore plus dérisoires et pathétiques dans les Pyrénées-Orientales les incantations des responsables du PCF et EELV qui ne cessent de s’agiter comme des cabris en invoquant de manière quasi magique le mot « unité ». Voilà une conception pour le moins curieuse de l’unité !

En politique, les réalités s’incarnent dans des pratiques, pas dans de simples mots, encore moins dans des gesticulations…

Catherine DAVID et Francis DASPE, co-secrétaires départementaux du PG 66

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Mar 27

Le Parti de Gauche 66 condamne la répression en Catalogne

PG sans FG

Le Parti de Gauche 66 dénonce le regain ces derniers jours de la répression politico-judiciaire quant à la question catalane en Espagne.

Il condamne l’incarcération en fin de semaine dernière de plusieurs dirigeants de premier plan de la mouvance indépendantiste ; il s’insurge contre l’arrestation ce dimanche par les autorités allemandes de l’ancien président de la Generalitat en exil en Belgique, Carles Puigdemont.

Ces pratiques éloignent malheureusement l’Espagne de la démocratie et de l’Etat de droit. L’Allemagne de Madame Merkel, récemment renforcée par un gouvernement de « Grande Coalition » associant conservateurs, démocrates-chrétiens et sociaux-démocrates, se déshonore en se faisant pour l’occasion le supplétif d’un gouvernement espagnol de Mariano Rajoy aux abois.

Quelles que puissent êtres les options des uns et des autres sur la question de l’avenir institutionnel de la Catalogne, le PG 66 estime comme non négociables le respect de la liberté d’expression des différentes sensibilités et la préservation de la souveraineté populaire exprimée démocratiquement.

Contre les pyromanes irresponsables, le PG 66 appelle à l’abrogation de toutes les mesures qui restreignent et contraignent les bases les plus élémentaires de la  démocratie, fondées sur la liberté d’expression, les droits de l’homme et la souveraineté populaire. C’est le seul plan de sortie de crise qui vaille en la circonstance présente.

Catherine DAVID et Francis DASPE, co-secrétaires départementaux du PG 66

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Mar 27

Le Parti de Gauche 66 engage une campagne d’action sur l’Europe

PG sans FG

Le Parti de Gauche 66 lance au cours des prochaines semaines une campagne d’action sur la question de l’Europe.

Les institutions et les politiques de l’Union européenne représentent un verrou pour la réalisation du projet de transformation démocratique, sociale et écologique pour lequel nous militons. Cette campagne d’action permettra de populariser la stratégie du plan A et du plan B visant à rompre avec la logique des traités européens. En toute circonstance, la décision appartiendra au peuple consulté par référendum.

Cette campagne d’action visera à un travail de pédagogie et de conviction qui se traduira par un travail de proximité avec des réunions publiques, organisées par le PG 66 ou en partenariat avec des organisations partenaires, des présences sur les marchés avec des distributions de tracts, des expressions publiques dans les médias, des collages d’affiches, des pétitions etc.

Elle s’appuiera également sur l’ouvrage de François Cocq, intitulé « Alerte à la souveraineté européenne ! La chimère de Macron contre la souveraineté populaire » qui vient de sortir (mars 2018, Eric Jamet éditeur), plaçant les questions européennes et de souveraineté du peuple au cœur des débats politiques.

Le PG 66 considère que les élections européennes de mai 2019 constitueront une étape décisive pour l’émergence d’une alternative à la politique du président Macron irrémédiablement vouée à l’échec par son caractère asymétrique en faveur des plus riches.

Catherine DAVID et Francis DASPE, co-secrétaires départementaux du PG 66

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Fév 05

L’Ecole de la République en marche arrière avec Macron

MESR

Le Parti de Gauche 66 exprime sa plus vive inquiétude concernant les mesures envisagées tous azimuts par la majorité autour du Président de la République Emmanuel Macron. Toutes ces mesures s’inscrivent dans la continuité des quinquennats précédents des présidents Sarkozy et Hollande. Dans les Pyrénées-Orientales, tout converge pour attester de la poursuite de la casse méthodique de l’Ecole de la République !

L’austérité est toujours à l’ordre du jour avec les moyens notoirement insuffisants alloués dans le cadre des dotations horaires globales (DHG) aux collèges et aux lycées et avec « l’épidémie » de fermetures de classes ou d’écoles dans les territoires ruraux des Pyrénées-Orientales.

La territorialisation du système éducatif est bien une constante des intentions du ministère Blanquer avec les projets de « bac à la carte » vers quoi conduisent l’introduction massive de contrôle continu et la réduction de la part des épreuves républicaines d’examen anonyme final.

La sélection reste bien une vieille lune des adversaires de l’égalité avec les nouvelles modalités d’orientation post-bac vers l’enseignement Supérieur, en raison de la remise en cause brutale de la reconnaissance du bac comme premier diplôme universitaire.

La lutte contre les inégalités sociales et la réussite de tous n’est toujours pas une priorité avec la dégradation des conditions d’apprentissage au quotidien (classes surchargées, raréfaction des dédoublements de classes etc.) et la mise à mal de l’éducation spécialisée de l’EREA Joan Miro de Perpignan (établissement régional d’enseignement adapté destiné aux publics les plus fragiles).

Le PG 66 appelle à une convergence de la grande diversité des luttes qui se multipliant dans l’éducation nationale. Il s’agit de favoriser un projet alternatif global fondé sur l’égalité et l’émancipation. Contre l’école de l’austérité au service des intérêts de l’oligarchie, portons résolument l’école de la 6° République au service du peuple !

Francis DASPE, co-secrétaire départemental du PG 66, président de la Commission nationale Education du PG, co-auteur du livre « Manifeste pour l’école de la 6° République » (éditions du Croquant, août 2016)

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Jan 22

Nous restons des élu-e-s libres et fidèles à leurs engagements

Nous venons d’avoir la confirmation que les élu-e-s EELV et PCF ont décidé pendant les fêtes de fin d’année 2017 de quitter unilatéralement  et sans discussion préalable le groupe politique qui rassemblait les membres de la liste « Nouveau Monde en Commun » au  Conseil régional Occitanie.

Cette décision brutale est regrettable mais ne nous surprend pas.  Alors que nous avions ouvert avec cette liste l’opportunité d’une alternative citoyenne, sociale et écologique, les élus d’EELV et du PCF se sont fortement éloignés des engagements que nous avions pris ensemble devant les électeurs. Ils assument d’ailleurs clairement défendre dorénavant les orientations de la majorité PS au Conseil régional comme ils l’ont déclaré lors de l’Assemblée Plénière du 21 décembre 2017 et confirmé en acceptant notamment l’augmentation du temps de travail des agents régionaux (à l’exception d’une élue PCF). Ils prennent aussi prétexte de notre accord avec les orientations stratégiques nationales de la France Insoumise pour justifier leur rupture avec notre rassemblement.

Ces aventuriers du « Nouveau Monde » ont donc choisi de s’accrocher aux restes du vieux monde.  Nous choisissons pour notre part la fidélité à nos engagements électoraux et à la charte éthique et démocratique qui nous engage. Nous continuerons à nous battre pour des politiques régionales à la hauteur des urgences sociales, des exigences écologiques et des attentes démocratiques. Nous sommes fiers d’avoir permis à la Région d’instaurer la gratuité des équipements pédagogiques pour les lycéens et les apprentis ou encore de se déclarer zone « hors Tafta ». Nous continuerons à proposer et à voter les propositions d’intérêt général qui répondent aux besoins des populations et à nous opposer aux mesures contraires à nos engagements électoraux et à nos convictions. Nous continuerons à agir aux côtés des mobilisations citoyennes.

Liem Hoang Ngoc, Myriam Martin, Jean-Christophe Sellin et Guilhem Serieys, conseillers-ères régionaux-ales d’Occitanie

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Déc 25

Lutter contre le « coût du capital », les étrennes pour 2018 du PG 66

PG sans FG

Les six premiers mois de la nouvelle majorité autour d’Emmanuel Macron n’ont pas été profitables à la grande majorité de nos concitoyens. Les premières mesures ont amplement justifié les expressions, en passe d’entrer dans le langage courant, de « Président des riches », de « Plan B du Medef » ou de « Robin des Bois inversé ».

En guise d’étrennes, le PG 66 souhaite que l’année 2018 permette enfin de s’attaquer véritablement au « coût du capital ». C’est une condition indispensable pour un meilleur partage des richesses et une augmentation du pouvoir d’achat du plus grand nombre. Et ceci à l’opposé de la « théorie du ruissellement » qui voudrait, en dépit de tout bon sens, que l’enrichissement d’une petite minorité favorise l’intérêt général !

Le travail n’est pas un coût, mais il est créateur de richesses. C’est la rémunération du capital qui est aujourd’hui un coût insupportable pour la société, générant pauvreté et précarité.

Considérant qu’il n’y a pas de meilleures étrennes pour l’immense majorité du peuple, le PG 66 lance au cours des fêtes de fin d’année une campagne d’action en ce sens avec distribution de tracts et collages d’affiches.

Le PG 66 souhaite une bonne année 2018, combative, dont la trajectoire est toute tracée : de la résistance à la révolution citoyenne.

Catherine DAVID et Francis DASPE, co-secrétaires départementaux du PG 66

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Déc 10

Le PG 66 dénonce une régression sociale à la Région Occitanie

El Khomri

Le Parti de Gauche 66 dénonce vigoureusement la décision votée le  7 décembre 2017  au Comité Technique Paritaire du Conseil Régional Occitanie. L’augmentation du temps de travail des agents régionaux des lycées de 40 heures par an sans augmentation de salaire y a été adoptée.

Cette décision n’est pas acceptable. Il s’agit d’une régression sociale indéfendable. Elle concerne des métiers pénibles, souvent occupés par des femmes, notamment les tâches d’entretien et de propreté. Accepter l’augmentation du temps de travail équivaut à renier les combats historiques pour le progrès social menés depuis deux siècles.

Les deux seuls élus régionaux parmi les membres du CTP du Conseil Régional Occitanie à s’être opposés à cette mesure sont Guilhem Serieys, membre du Parti de Gauche, et Myriam Martin, membre de Ensemble !. Le PG 66 regrette vivement le choix des élus PS, PRG, EELV et PCF de laisser passer ce recul social contraire aux engagements électoraux des uns et des autres. Même en Ile-de-France, région pourtant  dirigée par Mme Pécresse et la droite, l’opposition des syndicats et des élus progressistes a permis de préserver le temps de travail actuel !

Le PG 66 interpelle les élus régionaux des Pyrénées-Orientales : quelle sera leur attitude lors de l’Assemblée plénière des 20 et 21 décembre prochains ? S’y opposeront-ils ou valideront-ils cette mesure de régression sociale ? Les citoyens et les salariés doivent être informés en pleine conscience des choix adoptés par leurs élus régionaux.

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Nov 27

La défense du bac par l’autre versant

 MESR

Tribune diffusée dans L’Humanité le 27 novembre 2017.

Francis DASPE, président de la Commission nationale Education du Parti de Gauche, est co-auteur du livre intitulé « Manifeste pour l’Ecole de la 6° République », éditions du Croquant, août 2016.

 

Le baccalauréat constitue la clé de voûte du service public d’éducation. Il en garantit l’unité et la cohérence. Il n’est pas surprenant qu’il ait été attaqué par ceux qui ont pour objet le démantèlement méthodique du système éducatif public. On s’est d’abord évertué à le détruire en y instaurant des doses de contrôle continu. Cela s’est traduit en règle générale par un échec, tant l’attachement à l’examen du baccalauréat reste fort.

Un autre stratagème est en passe d’être utilisé pour parvenir au succès de l’entreprise. Il risque de se révéler plus efficace. On tente de casser le diplôme du baccalauréat par l’autre versant, celui de l’enseignement supérieur. Les actuels projets de réforme d’entrée dans le système universitaire, récemment dévoilés, y concourent à leur mesure.

Le procédé est extrêmement simple. Il s’agit de déconnecter l’accès aux études supérieures de la réussite au bac. Sous couvert de contorsions dilatoires autour des capacités d’accueil, des remises à niveau obligatoires par des cours en ligne ou des parcours aménagés,  c’est un système qui, s’il n’avoue pas son nom, relève bien de la logique de sélection. Une fois que le diplôme du baccalauréat ne sera plus le sésame pour entrer à l’Université, il sera aisé de casser son caractère d’examen national et anonyme, en un mot républicain.

Les digues seront alors ouvertes pour procéder à la territorialisation de l’école. Des bacs maison verront le jour, conduisant à la balkanisation du système éducatif, renforçant l’adéquationnisme. L’offre de formation sera directement dépendante du bassin d’emploi, sanctionnant le renforcement de l’immixtion des intérêts patronaux. L’adéquationnisme signifie une assignation sociale et territoriale, loin des impératifs d’émancipation et d’égalité.

Ce qui se joue est la place du diplôme et de la qualification dans l’insertion dans le monde du travail. La démonétisation du bac et des diplômes vise à ce que le jeune qualifié ne soit pas considéré comme un travailleur à part entière. Ceci afin que la rémunération soit en conséquence amputée. C’est la manière du patronat de réduire en partie le prétendu « coût du travail ». C’est aussi la façon d’imposer une mode de gestion managériale qui génère mécaniquement son cortège d’insécurité sociale et de précarité.

Le baccalauréat n’est pas seulement une épreuve pédagogique. C’est aussi un des soubassements, si modeste soit-il, de l’ordre social républicain. Celui là même que la majorité autour du Président Macron s’évertue ardemment à renverser. Aucun levier n’est dans cette optique négligé. La résistance doit se mener partout. La défense du baccalauréat, par l’autre versant trop souvent oublié, s’inscrit pleinement dans cette perspective.

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Oct 30

Réforme du premier cycle universitaire : une usine à gaz pour continuer à saper le Service Public de l’Université

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Le Parti de Gauche 66 exprime ses plus vives inquiétudes quant à la réforme de l’orientation en premier cycle universitaire présentée par le gouvernement. Les contorsions dilatoires autour des capacités d’accueil, des remises à niveau obligatoires par des cours en ligne ou des parcours aménagés cachent mal le point aveugle de ce « plan » : l’absence de moyens pérennes.

Ce projet est centré sur le « contrat de réussite pédagogique individuelle », la modulation des cursus et les modalités de sélection à géométrie variable. Son véritable objet vise à détruire ce qui reste de l’unité du service public de l’université. C’est un avant-goût de la loi annoncée pour l’an prochain qui officialisera la partition du Supérieur avec les « universités de recherche » sélectives d’un côté et de l’autre le service public paupérisé des « universités de bassin », où seront massés les étudiants refusés dans les établissements du premier type. On sait d’emblée dans quelle catégorie sera classée l’Université de Perpignan !

Cette réforme a tout d’une usine à gaz. La multiplication des étapes et des interlocuteurs aggravera l’insécurité des lycéens. Tant que les budgets ne seront pas revalorisés afin d’augmenter les capacités d’accueil pour faire face aux besoins réels, même si le mot sélection n’est pas prononcé, la chose sera bien une réalité tenace. L’engorgement des tribunaux administratifs, l’explosion du nombre d’étudiants mal-logés ou SDF après avoir été acceptés in extremis en septembre s’amplifieront.

Le Parti de Gauche 66 estime que le succès de tous les étudiants passe par une augmentation drastique du budget des universités, avec un recrutement massif d’enseignants-chercheurs et la construction de locaux. Il porte l’idée de la mise en place d’une allocation autonomie permettant aux étudiants de se concentrer sur leurs études. Reconstruire un service public national fort, ouvert et unifié : voilà l’urgence pour réussir le défi de la qualification et de l’émancipation.

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