Les six premiers mois de la nouvelle majorité autour d’Emmanuel Macron n’ont pas été profitables à la grande majorité de nos concitoyens. Les premières mesures ont amplement justifié les expressions, en passe d’entrer dans le langage courant, de « Président des riches », de « Plan B du Medef » ou de « Robin des Bois inversé ».
En guise d’étrennes, le PG 66 souhaite que l’année 2018 permette enfin de s’attaquer véritablement au « coût du capital ». C’est une condition indispensable pour un meilleur partage des richesses et une augmentation du pouvoir d’achat du plus grand nombre. Et ceci à l’opposé de la « théorie du ruissellement » qui voudrait, en dépit de tout bon sens, que l’enrichissement d’une petite minorité favorise l’intérêt général !
Le travail n’est pas un coût, mais il est créateur de richesses. C’est la rémunération du capital qui est aujourd’hui un coût insupportable pour la société, générant pauvreté et précarité.
Considérant qu’il n’y a pas de meilleures étrennes pour l’immense majorité du peuple, le PG 66 lance au cours des fêtes de fin d’année une campagne d’action en ce sens avec distribution de tracts et collages d’affiches.
Le PG 66 souhaite une bonne année 2018, combative, dont la trajectoire est toute tracée : de la résistance à la révolution citoyenne.
Catherine DAVID et Francis DASPE, co-secrétaires départementaux du PG 66