Fév 02

Départementales : dans quelle démocratie sommes-nous ?

Communiqué de presse de Francis DASPE, candidat du Parti de Gauche sur le canton 10 Perpignan V (Saint-Martin et Canohès).

Francis DaspeD.R.(photo libre de droits fournie par Francis Daspe)

Les élections Départementales auront lieu les 22 et 29 mars 2015. A ce jour, les compétences qui seront attribuées aux nouveaux Conseils départementaux ne sont toujours pas définitivement fixées. En effet, la loi NOTRe (nouvelle organisation de la République), troisième volet de la réforme territoriale, n’a pas encore été votée par le Parlement.

La loi NOTRe doit en effet clarifier les futures compétences entre collectivités. Si l’on sait que la région sera chef de file en matière économique et pour les transports, que le département sera centré sur la solidarité, on ne connaît toujours pas les contours exacts de ces compétences.

Dans quelle démocratie sommes-nous ? Drôle de démocratie en effet dans laquelle les citoyens sont conviés à voter pour des personnes dont on ne sait pas exactement ce dont elles pourront décider ! C’est ainsi que dans les esquisses de programmes certains candidats font de la gestion et de l’entretien des collèges une de leur priorité (tant pis si au pouvoir leur amis ont saccagé l’école ou n’ont pas tenu leurs promesses…). Or il est fort probable que cette compétence soit octroyée à la région ! Il en va de même des transports : les départements risquent d’être réduits à la portion congrue dans ce domaine.

Il est urgent de dénoncer le flou absolu qui entoure les élections départementales de mars prochain. La situation illustre bien le délitement de la 5° République. Plus que jamais, l’exigence démocratique exige un engagement vigoureux en faveur d’une 6° République. Les prochaines élections départementales des 22 et 29 mars doivent être l’occasion de porter cette exigence.

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Jan 30

Ensemble, membre du Front de Gauche, se joint à l’accord EELV et PG 66 pour les Départementales 2015

Communiqué de Ensemble par Veronika DAAE, membre de l’équipe d’animation nationale d’Ensemble.

 

Approuvant le souhait de faire de la solidarité et de l’égalité des territoires les piliers des politiques départementales, Ensemble66, troisième pilier du Front de Gauche, soutiendra les listes collégiales résultant de l’accord entre EELV et PG66 dans les Pyrénées-Orientales pour les prochaines élections départementales des 22 et 29 mars 2015.

Ensemble66 s’inscrit dans une démarche visant à mettre en place une autre politique, écologique et sociale, et se félicite donc de la volonté qu’affiche cet accord de rassembler une Majorité Citoyenne en capacité d’offrir une alternative aux politiques d’austérité.

Ensemble66 se réjouit de cet effort local à élargir le périmètre du rassemblement et à impulser, face à la crise systémique, la mise en place de solutions pérennes. Ainsi, Ensemble66 s’efforcera de promouvoir les listes collégiales résultant de cet accord car elles portent les objectifs qui nous rassemblent, notamment sur les services publics, la solidarité et la cohésion sociale, la démocratie de proximité, la transition et la planification écologique, la diversification des activités économiques, l’économie sociale et solidaire et la politique de transports.

Ensemble66 est partie prenante de cette dynamique de renouvellement des pratiques politiques et démocratiques impliquant la participation des citoyen-ne-s que favorise l’accord entre EELV et PG66 à l’occasion des élections départementales.

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Jan 29

Les candidats du rassemblement de la gauche de transformation écologique et sociale sur le canton 10 de Perpignan V

L’accord départemental signé dans les Pyrénées-Orientales entre le Parti de Gauche, membre du Front de Gauche, et Europe Ecologie Les Verts, aura une déclinaison concrète dans le canton 10 de Perpignan V regroupant le quartier de Saint-Martin et la commune de Canohès. Le binôme de titulaires sera composé de Francis DASPE et Isabelle PIEROPAN.

Francis Daspe D.R. (photo libre de droits fournie par Francis Daspe)

Isabelle PIEROPAN, 47 ans, attachée d’administration à l’Université Perpignan Via Domitia, est membre de Europe Ecologie Les Verts. Elle était candidate aux élections municipales de Perpignan l’an passé sur la liste écologiste menée par Jean Codognès. Francis Daspe, 44 ans, enseignant, est membre du Parti de Gauche. Il y occupe des fonctions nationales (président de la commission nationale éducation) et régionales (co-délégué pour le PG Languedoc-Roussillon). Il est aussi secrétaire général de l’AGAUREPS-Prométhée.

Ils entendent incarner le rassemblement des forces de la gauche de transformation écologique et sociale pour montrer qu’une alternative est possible aux politiques d’austérité et à la logique productiviste. Une autre voie est possible !

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Jan 26

Athènes capitale de la gauche!

Athènes, 500 ans avant notre ère, nous a offert un embryon de démocratie. 2500 plus tard, la majorité du peuple grec, une nouvelle fois, montre le chemin. Depuis plus de cinq ans, le peuple grec souffre et se révolte. Dans l’indifférence et le mépris des médias dominants, avec la complicité active de la social-démocratie vendue aux thèses patronales. A tous les résignés, à tous les sceptiques, à tous les déçus de ces PS qui ont renié le socialisme, avec Syriza, le peuple grec nous dit : une révolution citoyenne est possible. Ne subissons plus. Résistons.

rmjathenes capitale de la gauche

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Jan 23

Départementales : dans quelle démocratie sommes-nous ?

Campagne d’action contre la réforme territoriale menée par le Comité du Parti de Gauche de Perpignan.

Collages d'affiches à Perpignan par le PG

Collages d’affiches à Perpignan par le PG

Les élections Départementales auront lieu les 22 et 29 mars 2015. A ce jour, les compétences qui seront attribuées aux nouveaux Conseils départementaux ne sont toujours pas définitivement fixées. En effet, la loi NOTRe (nouvelle organisation de la République), troisième volet de la réforme territoriale, n’a pas encore été votée par le Parlement.

La loi NOTRe doit en effet clarifier les futures compétences entre collectivités. Si l’on sait que la région sera chef de file en matière économique et pour les transports, que le département sera centré sur la solidarité, on ne connaît toujours pas les contours exacts de ces compétences.

Dans quelle démocratie sommes-nous ? Drôle de démocratie en effet dans laquelle les citoyens sont conviés à voter pour des personnes dont on ne sait pas exactement ce dont elles pourront décider ! C’est ainsi que dans les esquisses de programmes certains candidats font de la gestion et de l’entretien des collèges une de leur priorité (tant pis si au pouvoir leur amis ont saccagé l’école ou n’ont pas tenu leurs promesses…). Or il est fort probable que cette compétence soit octroyée à la région ! Il en va de même des transports : les départements risquent d’être réduits à la portion congrue dans ce domaine.

Le Parti de Gauche Perpignan dénonce le flou absolu qui entoure les élections départementales de mars prochain. La situation illustre bien le délitement de la 5° République. Plus que jamais, l’exigence démocratique exige un engagement vigoureux en faveur d’une 6° République.

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Jan 20

Accord pour les Départementales 2015 entre EELV et PG66

PG membre du FdG                       EELV

Notre département est dans une grande souffrance sociale : taux de chômage record,  hausse inquiétante des précarités, inégalités face aux risques sanitaires et environnementaux. Or, les politiques sociales sont les compétences principales du département: revenu de solidarité active, plan gérontologique et allocation personnalisée d’autonomie, prestation de compensation du handicap, et les politiques d’accueil, d’accompagnement et d’insertion qui s’y rapportent.

Soucieux de faire de la solidarité et de l’égalité des territoires les piliers des politiques départementales, le Parti de Gauche 66 membre du Front de Gauche et Europe Ecologie–Les Verts (EELV) se rassemblent dans les Pyrénées-Orientales pour les prochaines élections départementales des 22 et 29 mars 2015.

Un accord a été signé sur des bases communes visant à proposer une autre politique citoyenne, écologique et sociale. Cette démarche s’inscrit dans la volonté de rassembler une Majorité Citoyenne en capacité d’offrir une alternative aux politiques d’austérité.
Pour le PG 66, il s’agit dans le cadre de la déclaration nationale du Front de Gauche du 17 décembre 2014 d’élargir le périmètre du rassemblement, et de promouvoir face à la crise systémique des solutions posant les jalons d’une autre répartition des richesses, d’une 6° République et d’une planification écologique.
Pour EELV Pays Catalan, il s’agit d’accompagner les initiatives citoyennes émergentes porteuses de solutions locales, de promouvoir la mutation écologique, sociale, et économique de la société, pour combattre les crises qui frappent la France et l’Europe.
Les candidats communs porteront à l’occasion des élections départementales devant les électeurs des objectifs programmatiques partagés, notamment sur les services publics, la solidarité et la cohésion sociale, la démocratie de proximité, la transition et la planification écologique, la diversification des activités économiques, l’économie sociale et solidaire, la politique de transports etc.

Abstention, perte de confiance dans les élu-es, gabegies financières… Les départements n’échappent pas à la crise démocratique que connaissent les institutions. Au-delà des échéances électorales, cet accord a vocation à s’inscrire dans une dynamique de renouvellement des pratiques politiques et démocratiques favorisant l’implication citoyenne. Ces élections seront une étape dans la construction collective.

Une conférence de presse aura lieu mercredi 28 janvier 2015 à Perpignan.
Pour EELV Pays Catalan                                                                 Pour le PG66

Agnès Langevine                                                                                              Dany Benquet
Katia Mingo                                                                                                       Francis Daspe

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Jan 20

Casse de l’école de la République : n’arrêteront-ils jamais ?

Francis DASPE, président de la Commission nationale Education du Parti de Gauche, et Paul VANNIER, responsable national à l’éducation du Parti de Gauche.  Tribune parue sur le site de Marianne le 20 janvier 2015. 

Francis Daspe et Paul Vannier, tous deux responsables des questions d’éducation au Parti de gauche, craignent que « l’apprentissage des principes républicains », annoncé dans la foulée de la tragédie « Charlie Hebdo », soit « externalisé dans le temps périscolaire ». « Dès lors, regrettent-ils, se prépare la particularisation de l’enseignement de principes universels »…

Marianne 1

 

Dès le début, alors que beaucoup s’évertuaient à en faire un sujet à gérer en « bon père de famille », le Parti de Gauche avait prévenu : la réforme des rythmes scolaires poursuivait des objectifs fondamentalement idéologiques. Une tribune en date  du 7 mai 2014 parue dans ces mêmes colonnes en établissait une liste non exhaustive : atteinte au principe de gratuité, marchandisation de l’école, remise en cause de l’égalité et de la laïcité, précarisation des personnels du périscolaire, avenir des écoles rurales etc. (http://www.marianne.net/Rythmes-scolaires-n-oublions-pas-les-enjeux-ideologiques_a238624.html)

Parmi ces enjeux idéologiques, une place particulière doit être réservée à la question de la territorialisation de l’école. Le décret Peillon du 23 janvier 2013 relatif à l’organisation du temps scolaire, mis en œuvre parallèlement à la réforme territoriale, conduit en effet à la dislocation de l’égalité de traitement des élèves, c’est-à-dire à la fin du cadre national du système éducatif.

De ce point de vue, la politique éducative du gouvernement poursuit celle engagée pendant le quinquennat d’airain de Nicolas Sarkozy. Après l’introduction de la gestion managériale avec l’UMP, la déclinaison de l’acte 3 de la décentralisation avec le PS conduit au renforcement de l’autonomie des établissements. (http://www.marianne.net/Education-l-autonomie-se-situe-au-coeur-meme-de-l-ideologie-neoliberale_a201653.html ) Inscrivant leurs actions dans une même direction tout en recourant à des méthodes différentes, PS et UMP, réunis dans les circonstances tragiques que traverse notre pays au sein d’une « union nationale », sont prêts à tout. A l’occasion de la « grande mobilisation de l’école » lancée par Najat Vallaud-Belkacem après la tragédie de Charlie Hebdo, l’AMF (association des maires de France), présidée  par l’ancien ministre de Sarkozy François Baroin, appelle à inscrire dans les PEDT (projets éducatifs territoriaux) « l’acquisition des valeurs républicaines ».

Si dans ce climat de concorde, cette proposition était retenue, son impact aurait des conséquences redoutables. Après celui du codage informatique, c’est l’apprentissage des principes républicains qui serait externalisé dans le temps périscolaire. Dès lors, se prépare la particularisation de l’enseignement de principes universels. Philologues et exégètes de tous poils pourront, chacun dans leur commune, dire leurs conceptions de la laïcité, de la liberté, de l’égalité, de la fraternité.  Au final, autant de discours sur la République que d’intervenants. Ce serait la fin de l’unité et de l’indivisibilité de notre régime et de notre peuple. Exclus des programmes nationaux, les principes républicains ne seraient en outre plus transmis à tous les élèves, puisque une partie d’entre eux ne peut accéder au temps périscolaire lorsqu’il est rendu payant.

Une nouvelle étape dans la territorialisation de l’école porterait donc doublement atteinte à la République : en aggravant les inégalités territoriales et en vidant de leurs substances les principes républicains. Elle conduirait aussi à compliquer la tâche des enseignants qui devront faire face au relativisme introduit par la multiplication des discours de la part d’intervenants pas forcément formés. Comment feront les professeurs pour convaincre les élèves parfois réticents de la nature républicaine de la laïcité quand d’autres adultes en auront délivré une version quelque peu divergente ? Cette rupture scandaleuse de l’égalité de traitement des élèves constitue bien in fine un obstacle à l’apprentissage des principes républicains.

En ces jours tragiques, les adversaires de l’Ecole de la République n’ont semble-t-il renoncé à aucune occasion. Décidément, pour ce gouvernement, tout est bon pour dynamiter l’Ecole de la République.

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Jan 16

Les activités périscolaires, levier du démantèlement de l’Ecole de la République

lecole-du-peuple

Le Parti de Gauche avait prévenu dès le début du débat sur la question des rythmes scolaires : les enjeux idéologiques étaient nombreux et forts. Parmi ceux-ci, le cadre national du système éducatif et l’égalité républicaine de traitement des élèves. La territorialisation de l’Ecole, par l’intermédiaire de la déclinaison de l’Acte 3 de la décentralisation et l’application de la réforme territoriale, est une arme de destruction massive qui démantèle le premier et remet en cause la seconde.

Suite aux discussions organisées par la ministre de l’éducation consécutivement à la tragédie de Charlie Hebdo, voilà que nos craintes sont en passe, hélas, de devenir réalité. L’AMF (association des maires de France) présidée par l’UMP François Baroin dans une cogestion digne de la gouvernance européenne, envisage d’externaliser l’étude des valeurs républicaines dans le cadre des activités périscolaires.

Exclues des programmes nationaux, les valeurs républicaines ne seraient donc plus transmises à tous les élèves. Certains n’en bénéficieront pas, une partie de ceux qui en bénéficieront devront payer, une autre partie en bénéficierait gratuitement !

Le Parti de Gauche dénonce ce qui serait une rupture scandaleuse de l’égalité territoriale qui structurait tant bien que mal l’Ecole de la République. Décidément, pour ce gouvernement, tout est bon pour dynamiter l’Ecole de la République.

 

Francis DASPE, président de la Commission nationale Education du PG

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Jan 15

Pour des solutions globales, appel du PG 66 à une Majorité citoyenne aux Départementales

L’union républicaine et citoyenne de ces derniers jours constituait l’attitude la plus digne face à la barbarie et à l’intolérance. Elle ne peut cependant nous faire oublier que les engagements économiques impactent le social, l’écologie et l’humain. L’union nationale ne remettra pas en cause le projet de loi Macron. Celui-ci sera pourtant contraignant aux salariés et aux plus modestes.

Les hommes et femmes de notre pays et de notre département sont instruits ; ils savent s’informer. Dotés de la capacité de réflexion et d’appréciation, ils voient bien qu’on essaie de les mettre en concurrence et de les diviser. Les religions peuvent être une solution de repli et de consolation. Mais elles peuvent produire radicalisation et fanatisme : l’extrémisme est aussi produit par les mêmes absences de réponses des politiques économiques libérales.

C’est une autre politique économique en rupture avec celle qui nous mène dans le mur que proposent le Parti de Gauche membre du Front de Gauche et d’autres organisations œuvrant à la transformation sociale. Ces formations politiques, syndicales, associatives ou citoyennes sont conscientes de la nécessité de proposer une autre vision économique défendue par des économistes prestigieux, de Thomas Piketty aux 150 économistes atterrés. Ils fixent  pour objectif  de s’opposer  à la Troïka (FMI, BCE Commission Européenne), dont l’échec s’affirme de jour en jour en précipitant les peuples européens dans une faillite annoncée.

 

En conséquence, le Parti de Gauche 66, membre du Front de Gauche, en appelle à la formation d’une Majorité Citoyenne qui s’oppose à la politique gouvernementale, mais aussi à celles de la droite et à l’extrême droite qui défendent  la même politique économique libérale. Il s’agit de  facteurs puissants de rejet, d’exclusion et de haine. Dès ces élections  départementales, les citoyens doivent se mobiliser pour dire leur choix d’une économie plus humaine, plus citoyenne, plus écologique.

Le PG 66 invite à la formation d’assemblées citoyennes dans les différents cantons des Pyrénées-Orientales. Pour reprendre en main son destin, le peuple doit s’organiser.

 

Danielle BENQUET, co-secrétaire départementale du PG 66

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Jan 14

Le Parti de Gauche de Perpignan en campagne contre le projet Macron

Le Comité de Perpignan du Parti de Gauche lance une campagne d’action afin de sensibiliser les citoyens contre les menaces que fait peser le projet de loi Macron qui sera présenté au Parlement fin janvier.

Campagne Macron

Au motif de « débloquer la France » et « libérer la croissance », il reprend les fondamentaux du libéralisme. Le travail du dimanche et de nuit est dérégulé, le droit du travail liquidé, les PSE (Plans de sauvegarde de l’emploi) et les licenciements facilités, les moyens de défense des salariés amoindris.

La distribution de tracts permettra de dévoiler les multiples impasses auxquelles mène ce texte de régression sociale (voir tract joint). Les collages d’affiches (voir photo jointe) mettent en évidence les influences du projet Macron. Il s’inscrit dans la logique des politiques d’austérité exigées par le pacte budgétaire européen et Madame Merkel.  Il vise à répondre aux injonctions du Medef auxquelles « le Premier ministre qui aime l’entreprise » donne satisfaction plus vite que son ombre !

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