Le Comité du PG de Perpignan dénonce la décision prise par le maire de Perpignan Jean-Marc Pujol d’autoriser l’ouverture des commerces 5 dimanches au cours de l’année 2016. Serait-ce la loi Macron étendant les possibilités de travail le dimanche qui décomplexe le maire de Perpignan ?
La crise du commerce du centre-ville de Perpignan ne sera nullement résolue par cette disposition en trompe-l’œil. C’est avant tout un problème de pouvoir d’achat : personne ne dépensera le dimanche l’argent qu’il n’a pas ou plus. Ce sont les politiques d’austérité nationales qu’il faut combattre. Elles ont un impact au quotidien localement et régionalement. A cet égard, le PG Perpignan ne peut que se réjouir de la pertinence du choix des trois élus régionaux du Parti de Gauche de ne pas avoir intégré l’exécutif du Conseil régional Languedoc-Roussillon / Midi-Pyrénées dirigé par l’ancienne ministre du gouvernement Valls (et actuelle député), Carole Delga, et par la toujours ministre, Sylvia Pinel. Les fortes compétences du Conseil régional dans le domaine de l’économie et de l’emploi l’obligeront mécaniquement à accompagner et à appliquer des politiques d’austérité dans nos territoires. Le PG 66 n’a pas fait campagne dans la liste « Nouveau Monde en commun » pour cela !
C’est ensuite un problème d’attractivité et de cadre de vie de la ville de Perpignan. Les politiques municipales menées en la matière par le maire de Perpignan et président de l’agglomération sont un élément de la crise, certainement pas une solution.
Le PG Perpignan appelle à refuser toute application de la loi Macron concernant le travail du dimanche. Les graves problèmes du commerce du centre-ville de Perpignan méritent une autre réflexion qui soit véritablement à la hauteur des enjeux.
Jan 07
Le travail du dimanche, une partie du problème, pas une solution
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Jan 04
Election à la présidence du Conseil Régional : nous nous sommes abstenus
Elus issus de la liste « Nouveau Monde en commun », nous avons pris nos responsabilités pour faire échec à l’extrême droite en faisant le choix d’un regroupement au second tour avec la liste conduite par Carole Delga. Les 10% d’électeurs qui nous ont fait confiance au premier tour sont ainsi représentés dans l’assemblée régionale. Nous œuvrerons à la mise en œuvre de nos engagements de campagne, dans un esprit autonome, constructif et conquérant.
Cette élection régionale a d’abord révélé l’approfondissement de la crise démocratique que traverse notre pays. Celle-ci appelle une rupture avec les pratiques politiques contestées par nos concitoyens et nécessite des changements majeurs pour répondre aux urgences sociales, écologiques et démocratiques.
Heureusement, le FN n’est pas en mesure aujourd’hui de présider notre région. Pour autant, nous avons fait campagne au premier tour autour d’engagements éthiques, du refus du cumul des mandats et de la nécessité d’une refondation démocratique largement partagée par la population. Nous regrettons le choix de Carole Delga et Sylvia Pinel ne pas démissionner de leurs postes et mandats nationaux. Nous nous inquiétons d’un exécutif régional qui ne serait pas clairement indépendant des politiques gouvernementales. Le projet de réforme constitutionnelle permettant la déchéance de nationalité de personnes nées en France est ainsi pour nos consciences républicaines une ligne rouge.
En cohérence avec nos engagements, nous nous sommes abstenus sur l’élection du président du conseil régional.
Liem Hoang-Ngoc,
conseiller régional de la liste « Nouveau Monde en commun », membre de la Nouvelle Gauche Socialiste
Muriel Ressiguier, Jean-Christophe Sellin et Guilhem Serieys,
conseillers régionaux de la liste « Nouveau Monde en commun », membres du Parti de Gauche
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Jan 03
Nous interpellons Mme Delga et Mme Pinel sur le cumul des mandats et la réforme constitutionnelle
Lundi 4 janvier aura lieu la séance d’installation du Conseil régional Languedoc-Roussillon/Midi-Pyrénées. Elus issus de la liste « Nouveau Monde en commun », nous avons fait le choix d’un regroupement nécessaire au second tour avec la liste conduite par Carole Delga pour faire échec à l’extrême droite et permettre la représentation proportionnelle des 10% d’électeurs qui nous ont fait confiance. Nous œuvrerons dans l’assemblée à la mise en œuvre de nos engagements de campagne.
Cette victoire au second tour ne doit pas occulter l’avancée de la crise démocratique révélée par cette élection régionale. Celle-ci appelle une rupture avec les pratiques politiques contestées par nos concitoyens et nécessite des changements politiques majeurs pour répondre aux urgences sociales et écologiques. Aussi, nous nous inquiétons fortement d’un exécutif régional qui n’affirmerait pas clairement son indépendance avec la politique gouvernementale et qui ne serait pas exemplaire en matière de non-cumul des mandats.
Concernant l’indépendance de l’exécutif régional par rapport à la politique gouvernementale, le texte de « l’accord de majorité » indique que « nous ne confondons pas les débats nationaux entre les partis politiques et notre action en commun pour notre région telle que la souhaitent nos concitoyens ». Cette affirmation a peu de sens, tant les sujets locaux et régionaux sont largement impactés par les choix politiques nationaux. Mais surtout, cette volonté est difficilement applicable si Mme Delga et Mme Pinel ne démissionnent pas de leurs mandats nationaux.
D’une part, cette situation de cumul est en contradiction avec la volonté affichée de renouveler profondément les pratiques démocratiques. D’autre part, les parlementaires seront appelés prochainement à se prononcer sur la réforme constitutionnelle proposée par le chef de l’Etat qui prévoit notamment la possibilité de déchéance de nationalité pour les binationaux nés français. Cette mesure créerait deux catégories de citoyens français en contradiction avec l’affirmation constitutionnelle selon laquelle la « République est une et indivisible et assure l’égalité devant la loi de tous les citoyens sans distinction d’origine, de race ou de religion« . Cette réforme constitutionnelle constitue pour nos consciences républicaines une ligne rouge.
Dans ce contexte, nous interpellons publiquement Mme Delga et Mme Pinel pour connaître leurs intentions et leurs choix personnels en matière de cumul de mandats et sur la question de la réforme constitutionnelle.
Liem Hoang-Ngoc,
conseiller régional de la liste « Nouveau Monde en commun », membre de la Nouvelle Gauche Socialiste
Muriel Ressiguier, Jean-Christophe Sellin et Guilhem Serieys,
conseillers régionaux de la liste « Nouveau Monde en commun », membres du Parti de Gauche
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Nov 22
L’enseignement agricole public, le grand oublié
Le Parti de Gauche apporte son soutien à la journée d’action initiée par les syndicats de l’enseignement agricole public le 24 novembre 2015.
Frappée par la politique d’austérité du gouvernement, l’enseignement agricole public ne dispose pas des moyens pour mener à bien ses missions d’éducation et le projet agro-écologique dont la France a besoin.
La mise en œuvre de nouveaux modes de production répondant aux enjeux nés de la crise environnementale nécessite en effet de permettre à tous les élèves qui en font la demande de pouvoir être scolarisés dans les établissements agricoles publics. Le désengagement de l’Etat, aggravé par la réforme territoriale, y fait obstacle profitant ainsi à l’enseignement privé qui reçoit les élèves qui n’ont pas trouvé de place dans l’enseignement public.
La formation professionnelle dans l’enseignement agricole doit recevoir les moyens nécessaires pour répondre aux besoins éducatifs et préparer la nécessaire transition écologique de l’agriculture.
Le Parti de Gauche apporte son soutien à ces justes revendications de l’enseignement agricole public. Il exige que l’Etat et les régions lui donnent les moyens de répondre à l’ensemble des défis auxquels il est confronté. L’enseignement agricole public doit cesser d’être le grand oublié du système éducatif français.
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Nov 14
A l’horreur, opposons la force de la République
La France vient d’être de nouveau victime d’attaques terroristes abominables. Ce matin comme tout le pays nous sommes en deuil. Nous pensons à toutes les victimes de ces lâches et sommes solidaires de leurs proches. Nous saluons les forces de police et d’armée, les pompiers, les services de secours et de santé qui agissent depuis hier soir sans relâche et la solidarité très forte qui s’est spontanément manifestée.
Viendra le temps des analyses et des solutions à proposer. Ce jour, par respect pour les victimes et nos concitoyens, ce n’est pas le moment d’en dire plus.
Comme en janvier dernier, réaffirmons à ces misérables fascistes que la France ne leur fera le cadeau ni de céder à la peur ni de renier ses principes.
Ils s’attaquent à la République, opposons-leur la Liberté, l’Egalité et la Fraternité…
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Nov 11
Carte scolaire : le choix du marché plutôt que de la mixité
La réforme du collège organisait la différenciation de l’offre éducative de chaque établissement. L’ersatz de réforme de la carte scolaire permettra aux parents d’élèves de faire des vœux d’affectation pour leurs enfants dans plusieurs collèges différents. De la sorte, la boucle est bouclée : un véritable marché scolaire sera institué dans lequel les familles les plus favorisées sauront tirer leur épingle du jeu.
Dans cette école à la carte où les critères d’affectation – sociaux mais aussi géographiques, liés aux choix des langues et des options – seront définis localement, les élèves seront triés, la ségrégation encouragée. Les différentes obligations républicaines d’égalité qui relevaient jusqu’alors de l’Etat volent en éclat !
Les établissements privés, qui constituent un recours pour ceux souhaitant contourner une affectation, se voient proposer un accompagnement financier à condition d’ « ouvrir davantage de classes ». C’est un nouveau recul du combat pour l’école publique laïque de ce gouvernement qui abandonne ainsi cette conquête historique de la gauche. La ministre se fait la VRP de l’enseignement privé !
Pour le Parti de Gauche, l’impératif de mixité sociale ne peut dépendre de l’école seule. Il ne sera atteint qu’en rompant avec l’austérité pour mettre en œuvre une véritable politique de la ville et de l’habitat. En faisant preuve également d’un véritable volontarisme, par exemple en attribuant des options rares et valorisantes aux établissements ruraux et de banlieues, pas uniquement à ceux des centres-villes. Et enfin en réservant les fonds publics à l’école publique.
Francis DASPE
Co-secrétaire du PG 66, Président de la Commission nationale Education du PG
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Nov 09
Pour une formation professionnelle réellement émancipatrice
Tribune parue sur Marianne le 6 novembre 2015
Francis DASPE, président de la Commission nationale Education du Parti de Gauche
Paul VANNIER, Secrétaire National à l’Education du Parti de Gauche
Alors qu’approchent les échéances électorales, la formation professionnelle, compétence des conseils régionaux au carrefour de l’éducation, de l’emploi, du développement économique et de la politique d’inclusion sociale, peut constituer un levier pour mener des politiques de rupture.
Pour cela, les élus régionaux devront agir en respectant trois conditions. Alors que la formation professionnelle se prête aisément à la marchandisation, tant les budgets qui la concernent sont significatifs, il faudra d’abord l’extirper des griffes des marchands. Pour cela il faut refuser le développement, inconsidéré ou dogmatique, de l’apprentissage sous statut privé. Celui ci témoigne d’ailleurs d’une continuité entre les deux derniers quinquennats : à chaque fois, le Medef voit ses desiderata exaucés. Cette conception de l’apprentissage octroie une bien regrettable validation aux politiques de casse de l’enseignement professionnel public, la réforme du bac pro en trois ans sous Darcos en ayant été une étape décisive. C’est ainsi que le nombre de fermetures de lycées professionnels s’est élevé depuis 2002 à 184, dont 36 lycées fermés depuis 2012. Les majorités socialistes des Conseils régionaux ont ainsi accompagné les politiques sarkozystes réduisant à peau de chagrin l’enseignement professionnel public. Alors que dans le temps le parti socialiste dénonçait par le verbe au niveau national les contre-réformes de la droite en matière d’éducation, à l’opposé de la réalité des faits au niveau régional …
La formation professionnelle, libéré des intérêts marchands, doit également viser l’émancipation des personnes. Pour cela il faut rompre avec toutes les formes d’adéquationnisme, c’est à dire avec toutes les tentatives de soumission de l’offre de formation aux stricts besoins économiques locaux. Source d’assignation sociale et territoriale à résidence, l’adéquationnisme enferme dans des bassins d’emplois restreints et subordonne les aspirations professionnelles de chacun aux intérêts patronaux locaux. L’adéquationnisme rompt le fragile équilibre entre les trois piliers caractérisant toute politique de formation professionnelle tournée vers « l’émancipation concrète et radicale » : le projet professionnel personnel de l’individu, la nécessité politique de la nation de développer les forces de travail utiles au projet de transition sociale et écologique, les potentialités et les besoins du bassin d’emploi. La reconquête de la dignité de l’homme, du travailleur et du citoyen doit se situer au centre des préoccupations.
Enfin, une politique de la formation professionnelle de gauche s’affranchira si nécessaire par la désobéissance aux directives européennes allant dans le sens de la concurrence et de la marchandisation. Ce sont elles qui ont sont à l’origine de la privatisation de la formation professionnelle.
Nous entendons remettre la formation professionnelle au cœur de notre projet de transformation sociale, en renouant avec sa visée émancipatrice. Dans ce domaine, comme dans d’autres, nous pouvons faire des régions un laboratoire de nos radicalités concrètes.
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Nov 01
Pour la régie départementale et la tarification solidaire de l’eau dans les Pyrénées-Orientales
Madame la Présidente du Conseil Départementale des Pyrénées-Orientales Hermeline MALHERBE
Nous vous avions fait parvenir un courrier en date du 10 juin 2015 concernant le projet d’une régie départementale et d’une tarification solidaire de l’eau dans les Pyrénées-Orientales. Ce projet avait été porté par les candidats du Parti de Gauche au cours de la récente campagne des élections Départementales des 22 et 29 mars 2015.
Notre courrier n’a pas reçu de réponse. Nous revenons vers vous pour vous interroger à nouveau sur vos intentions en la matière. Nous savons que ce projet de régie départementale et de tarification solidaire de l’eau doit s’inscrire dans le cadre des compétences du Département, mais aussi en tenant compte des possibilités d’action politique que la collectivité territoriale voudra bien utiliser.
A ce propos, nous vous invitons à participer au débat organisé mercredi 5novembre au cinéma Castillet par notre camarade du Parti de Gauche Gabriel Amard à partir du film « Vague citoyenne ». Il a mis en place ces dispositifs dans le cadre de la communauté des lacs de l’Essonne, en surmontant les (nombreux) obstacles qui lui ont été opposés.
Partageant certainement l’idée que l’eau est un bien commun de l’humanité, il convient désormais d’œuvrer à ce qu’elle échappe à la logique de la loi du marché et du profit. D’ailleurs, j’ai noté avec satisfaction que le député Jacques Cresta a fait une proposition semblant aller dans ce sens, avec une tarification progressive selon les revenus ou le nombre de personnes composant le foyer… Pour reprendre Victor Hugo, « rien n’est plus puissant qu’une idée dont l’heure est venue ! ».
Dans l’attente de votre réponse, veuillez agréer, Madame la Présidente du Conseil Départemental des Pyrénées-Orientales, l’expression de nos plus sincères salutations.
Pour le Parti de Gauche, Francis DASPE
Co-secrétaire départemental du PG 66
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Oct 28
Les représentants du Parti de Gauche 66 au Conseil National
A la suite du Congrès National du Parti de Gauche qui s’est tenu à Villejuif du 3 au 5 juillet 2015, les départements devaient élire les nouveaux membres du Conseil National, instance tenant le rôle de véritable parlement du Parti de Gauche.
Preuve de son développement dans les Pyrénées-Orientales, le PG 66 a la satisfaction d’être représenté par deux conseillers nationaux.
Ont étés élus, à parité, au Conseil National Francis DASPE (comité de Perpignan) et Catherine DAVID (comité du Vallespir). Les suppléants sont Alain PRAT DE RIU (cercles du Conflent et de Cerdagne/Capcir) et Carole GOHIER (comité de Perpignan).
Le premier Conseil National post Congrès se déroulera les 31 octobre et 1° novembre 2015.
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Oct 25
Des sondages pour sauvegarder la maison en feu ?
Les sondages font souvent l’objet de manipulations les plus éhontées. La « presse quotidienne régionale Baylet », en situation de monopole de fait dans la région Languedoc-Roussillon / Midi-Pyrénées, en a offert une illustration décomplexée.
Dans les derniers sondages pour les Régionales de décembre prochain, elle va jusqu’à inventer deux listes qui n’existent pas pour l’heure. Et qui ont très peu de chances d’être déposées avant la date limite du 9 novembre. En l’occurrence les listes Cavard et Nouvelle Donne. Et de surcroît en les gonflant de manière artificielle en leur octroyant à chacune 3%.
Le mobile ? Minimiser les intentions de vote en faveur de la liste du rassemblement citoyen, solidaire et écologiste (PG, PCF, EELV, Ensemble !, NGS, RPS) menée par Gérard Onesta, la seule liste de gauche alternative en capacité de gagner. L’objectif ? Tenter de persuader l’opinion publique que la liste ne peut pas passer devant la liste Delga soutenue par le gouvernement (ce qui convenons-en constitue un boulet…). La finalité ? Parvenir à justifier le vote prétendument « utile », celui qui permet de s’exonérer à trop bon compte de ses propres renoncements.
Il est vrai qu’il y a le feu dans la maison commune Delga / Baylet. La liste Delga est en effet créditée d’un 19% orienté à la baisse. Et nous n’irons pas à aller jusqu’à dire que cette liste Delga ait pu être un tantinet surévaluée… Le périmètre de la liste Onesta se situe à 17 % (11% plus les 6% des listes créées ex-nihilo). Car ces deux listes retranchent à Onesta. Croyez-vous que si elles mordaient sur la liste Delga elles eussent été testées dans les sondages de la « PQR Baylet » ?
De cette manipulation de bas étage, il ressort une information importante qui doit être mise en exergue. C’est précisément celle qui devait être cachée. La bascule entre les listes Delga et Onesta est en passe de se réaliser. Du coup, l’argument du vote prétendument utile s’écroule. Pire, ou mieux, c’est selon les perspectives, il changerait alors de camp. Pour la réalisation d’une politique de gauche, articulant alternative à l’austérité et transition écologique à l’échelon régional, il vaut mieux voter pour la liste Onesta que pour la liste Delga ! Aucun doute possible !
Le grossier subterfuge employé par la presse Baylet doit être dénoncé. Il est vrai que quand la maison brûle, tout est bon pour tenter de circonscrire l’incendie… Avec fébrilité et maladresse, et surtout sans craindre de bafouer l’éthique.
Francis DASPE, Co-secrétaire départemental du PG 66
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