Le Parti de Gauche 66 apporte sans réserve son soutien le plus déterminé au peuple grec et à son gouvernement dirigé par Alexis Tsipras dans sa lutte contre les politiques d’austérité.
Les diktats répétés de la Troïka (Commission Européenne, Banque Centrale Européenne, Fonds Monétaire International) sont de véritables attentats à la souveraineté du peuple grec. La multiplication des plans d’austérité et leur férocité ont fortement aggravé les conditions de vie de la population grecque, sans réduire pour autant la dette qui a au contraire continué à exploser.
Le gouvernement grec dirigé par Syriza a décidé de convoquer un référendum pour dimanche 5 juillet : le PG 66 estime qu’il revient au peuple grec de trancher. Les plans d’austérité iniques imposés par la Troïka doivent être rejetés sans appel, en Grèce comme dans toute l’Europe.
Le PG 66 dénonce le rôle indigne joué par la France qui n’apporte aucun soutien au peuple et au gouvernement grecs. Pire, c’est un français, le Commissaire européen aux affaires économiques, Pierre Moscovici, qui est chargé de maintenir la tête sous l’eau à la Grèce !
Le PG 66 poursuivra sa campagne d’action illustrée par la formule « Si la Grèce était une banque, elle serait sauvée ! ». Il appelle à participer au rassemblement unitaire de soutien et de solidarité avec la peuple grec prévu à Perpignan dimanche 5 juillet à 11 heures place Arago.